26 septembre 2009
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12:00
Lorsqu’ils furent seuls c’est le vampire qui commença.
- Ce que tu m’a fais est inacceptable, tu m’as volé ma liberté même si c’est pour protéger ton amie cela ne peut se justifier.
- Elle est plus pour moi.
- D’accord ta meilleure amie, ta plus proche amie formule le comme tu le veux.
- C’est ma fille reprit-elle doucement. Siléa est ma fille mais vas-y continu.
Cependant le guerrier se taisait, au bout d’un moment elle se décida à lever la tête pour découvrir l’homme ébahi.
- Ta fille, mais c’est impossible vous avez que quelques mois de différence !
- Les vampires ne tuent pas les enfants car ils sont sacrés pour eux mais ils ont laissé beaucoup d'orphelins. On a essayé de construire des offices pour eux mais ils étaient trop nombreux alors quelques uns devaient finir dehors, dans les rues. Ainsi on a aussi facilité l’adoption pour éviter cela au maximum. Avec ces deux mesures on n‘avait pas trop d‘enfants désoeuvrés. Malheureusement il faut savoir que Siléa possède le feu comme élément, c’est très rare dans mon peuple et tout le monde l’a assimilée aux démons. Des rumeurs sur ses parents ont circulé, elle a dû subir cela toute sa vie. Lorsque je l’ai rencontrée elle était affamée. On s’est bien entendues et je ne pouvais pas supporter ses conditions d’existence, même si elle ne se plaignait jamais. Je savais que Nana refuserait de l ‘accueillir alors un jour je l’ai adoptée ce qui a forcé ma grand-mère à s’occuper d’elle. J'ai eu raison dès que Nana a découvert notre lien elle l'a fait entrer dans l'armée où elle a pu évoluer. Depuis Siléa est légalement ma fille.
Le garde la regarda puis reprit.
- D’accord, mais même si c’est ta fille cela ne justifie pas tes actes. Je ne peux rien te faire puisque tu es liée à Lucas, mais je peux me venger sur ma nouvelle femme.
Cali arrondit les yeux
- Non pitié pas ça !
- On a un problème petit ange, mais je vois la solution. Je détiens la vie de ton amie en otage et toi tu as celle de mon roi alors faisons un échange.
- Je ne comprends pas.
- Le sort devait s’achever dans un mois à la fin du 6ème mois. Je veux que tu y mettes un terme à la fin de ce mois, ce qui te laisse une semaine pour mettre tes affaires en ordre.
- J’accepte dit elle, ça me parait juste.
Elle s’apprêtait à sortir lorsque le guerrier lui dit :
- Je te jure sur mon âme que je veillerai sur elle.
Cali sortit et rejoignit Siléa qui s’inquiétait pour elle, elle lui lança un sourire et la rassurera. Jamais elle ne saurait le prix qu’elle avait payé. Les couples se séparèrent et chacun de leur coté ils rejoignent leur chambre. Dès qu’ils furent seuls Lucas demanda la sanction.
- Un mois de ma vie lui répondit elle, son mari lui envoya un regard étonné
- Non pas vrai, tu as dû payer de ton sang comme dans les vielles légendes ! Mais comment il a fait ? Cali soupira résignée à expliquer.
- Mais non, il m’a juste demandé de rompre le sort à la fin de ce mois et j’ai accepté.
- Je vois, dit il plus sérieusement. Si je comprends bien mon calvaire touche à sa fin, je serais bientôt libre.
- C’est ça. Maintenant si ça ne te dérange pas j’aimerais dormir, je suis fatiguée et demain une longue journée m’attend.
le prisonnier de l'ange 89
- Ce que tu m’a fais est inacceptable, tu m’as volé ma liberté même si c’est pour protéger ton amie cela ne peut se justifier.
- Elle est plus pour moi.
- D’accord ta meilleure amie, ta plus proche amie formule le comme tu le veux.
- C’est ma fille reprit-elle doucement. Siléa est ma fille mais vas-y continu.
Cependant le guerrier se taisait, au bout d’un moment elle se décida à lever la tête pour découvrir l’homme ébahi.
- Ta fille, mais c’est impossible vous avez que quelques mois de différence !
- Les vampires ne tuent pas les enfants car ils sont sacrés pour eux mais ils ont laissé beaucoup d'orphelins. On a essayé de construire des offices pour eux mais ils étaient trop nombreux alors quelques uns devaient finir dehors, dans les rues. Ainsi on a aussi facilité l’adoption pour éviter cela au maximum. Avec ces deux mesures on n‘avait pas trop d‘enfants désoeuvrés. Malheureusement il faut savoir que Siléa possède le feu comme élément, c’est très rare dans mon peuple et tout le monde l’a assimilée aux démons. Des rumeurs sur ses parents ont circulé, elle a dû subir cela toute sa vie. Lorsque je l’ai rencontrée elle était affamée. On s’est bien entendues et je ne pouvais pas supporter ses conditions d’existence, même si elle ne se plaignait jamais. Je savais que Nana refuserait de l ‘accueillir alors un jour je l’ai adoptée ce qui a forcé ma grand-mère à s’occuper d’elle. J'ai eu raison dès que Nana a découvert notre lien elle l'a fait entrer dans l'armée où elle a pu évoluer. Depuis Siléa est légalement ma fille.
Le garde la regarda puis reprit.
- D’accord, mais même si c’est ta fille cela ne justifie pas tes actes. Je ne peux rien te faire puisque tu es liée à Lucas, mais je peux me venger sur ma nouvelle femme.
Cali arrondit les yeux
- Non pitié pas ça !
- On a un problème petit ange, mais je vois la solution. Je détiens la vie de ton amie en otage et toi tu as celle de mon roi alors faisons un échange.
- Je ne comprends pas.
- Le sort devait s’achever dans un mois à la fin du 6ème mois. Je veux que tu y mettes un terme à la fin de ce mois, ce qui te laisse une semaine pour mettre tes affaires en ordre.
- J’accepte dit elle, ça me parait juste.
Elle s’apprêtait à sortir lorsque le guerrier lui dit :
- Je te jure sur mon âme que je veillerai sur elle.
Cali sortit et rejoignit Siléa qui s’inquiétait pour elle, elle lui lança un sourire et la rassurera. Jamais elle ne saurait le prix qu’elle avait payé. Les couples se séparèrent et chacun de leur coté ils rejoignent leur chambre. Dès qu’ils furent seuls Lucas demanda la sanction.
- Un mois de ma vie lui répondit elle, son mari lui envoya un regard étonné
- Non pas vrai, tu as dû payer de ton sang comme dans les vielles légendes ! Mais comment il a fait ? Cali soupira résignée à expliquer.
- Mais non, il m’a juste demandé de rompre le sort à la fin de ce mois et j’ai accepté.
- Je vois, dit il plus sérieusement. Si je comprends bien mon calvaire touche à sa fin, je serais bientôt libre.
- C’est ça. Maintenant si ça ne te dérange pas j’aimerais dormir, je suis fatiguée et demain une longue journée m’attend.
le prisonnier de l'ange 89