25 novembre 2009
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13:01
Cette déclaration faite je pensai réellement en avoir fini mais non, il s'évertuait. Et plus il s’énervait, moins je comprenais. C’est dans cette situation que j’aurais aimé être bilingue ne pas pouvoir lui expliquer le fond de ma pensée était extrêmement frustrant. La seule chose que je pouvais faire c’était l’ignorer, donc je continuai mon chemin mais alors que je passai à ses cotés il m’attrapa . Son ton et ses gestes devenaient de plus en plus agressif quelle sotte j'aurai dû me méfier, son aura jeune était rose assez vif démontrait un caractère emporté et colérique, j’aurais du faire plus attention. J’en étais là de mes pensés, toujours prisonnière de l'étudiant, lorsque je vis un ange et un rouquin dans la foule. Ils m’avaient suivi bien sûr ! À ma grande joie ils s’approchèrent :
- Hé man you have problem? Let go of her (il y a un problème ? Lâche la ! Hé mais j’ai compris !)
À cet instant précis le garçon fit ce qu’il n’aurait jamais dû faire, il me tira dans ses bras en déclarant :
- Huizlejkloizr (décidément son accent, je n’y arrivais pas!).
Je jetai un coup d'œil désespéré au curé afin qu'il m'explique :
- Il prétend être ton petit ami.
Choquée par cette révélation je me tournai vers Célian et l'implora :
- Pleause help.
Ni une ni deux il s’emporta et chassa mon prétendant bien loin.
- Tu ne devrais pas le manipuler comme ça, me fit le prêtre.
Je lui souris en me pivotant vers les surgelés :
- Tu as raison, pour me faire pardonner je vais lui faire son plat préféré ce soir.
- Des frites ?
- Ignare, non des French potatos (c’est la même chose).
Il me sourit en m’ébouriffant les cheveux, décidément c’était devenu une habitude.
- Tu commences à plaisanter en Anglais, je savais que ma méthode te plairais.
Comment lui dire sans le vexer que je ne comprenais que lui. Ceci est sans importance, allons payer. Je hurlai « Brother » et beau revient lâchant le pauvre étudiant effrayé.
- J’adore ton accent me dit il.
Je me hissais sur la pointe des pied pour lui donner un bisous sur la joue:
- Merci de m’avoir défendue.
- C’est normal c’est le rôle d’un grand frère.
Dans le coin entre deux frigos se tenait un mortel de ma promotion, je ne l’avais pas vu. Ce fut ma seconde erreur.
J’avais vu juste, les frites furent entièrement mangées. Je m'apprêtais à faire la vaisselle lorsque Erwan m’arrêta :
- Laisse, je vais la faire. Si tu fais les courses et les repas, alors je fais la vaisselle et Beau fera le ménage.
- Hé, je trouve ce partage des taches totalement inégal ! Pourquoi je m'esquinte à faire tout le ménage tout seul ?
- Je passe ma journée à sauver des âmes, alors que tu passes la tienne à dormir planqué dans une infirmerie vide !
- Faux, elle est remplie. Et u n'aurais plus beaucoup d'âme à sauver si je ne soignait pas leurs corps !
- Je confirme, ombreuses sont les filles qui souhaitent que beau soigne leurs corps.
Le regard du padre s'assombrissait.
- Quel exemple tu donnes à ta sœur !
- Heu ça va protestai-je
- Pour ta punition tu nettoieras ma chambre en plus ! rajouta-t-il.
- Quoi ! Mais c’est un prétexte pour me faire ranger ta chambre…
- En effet fit-il d'un calme olympien.
J’abandonnai ma série de questions sur le table et les laissai se disputer pour aller me reposer sur la méridienne dehors.
Divin témoin 21
À cet instant précis le garçon fit ce qu’il n’aurait jamais dû faire, il me tira dans ses bras en déclarant :
- Huizlejkloizr (décidément son accent, je n’y arrivais pas!).
Je jetai un coup d'œil désespéré au curé afin qu'il m'explique :
- Il prétend être ton petit ami.
Choquée par cette révélation je me tournai vers Célian et l'implora :
- Pleause help.
Ni une ni deux il s’emporta et chassa mon prétendant bien loin.
- Tu ne devrais pas le manipuler comme ça, me fit le prêtre.
Je lui souris en me pivotant vers les surgelés :
- Tu as raison, pour me faire pardonner je vais lui faire son plat préféré ce soir.
- Des frites ?
- Ignare, non des French potatos (c’est la même chose).
Il me sourit en m’ébouriffant les cheveux, décidément c’était devenu une habitude.
- Tu commences à plaisanter en Anglais, je savais que ma méthode te plairais.
Comment lui dire sans le vexer que je ne comprenais que lui. Ceci est sans importance, allons payer. Je hurlai « Brother » et beau revient lâchant le pauvre étudiant effrayé.
- J’adore ton accent me dit il.
Je me hissais sur la pointe des pied pour lui donner un bisous sur la joue:
- Merci de m’avoir défendue.
- C’est normal c’est le rôle d’un grand frère.
Dans le coin entre deux frigos se tenait un mortel de ma promotion, je ne l’avais pas vu. Ce fut ma seconde erreur.
J’avais vu juste, les frites furent entièrement mangées. Je m'apprêtais à faire la vaisselle lorsque Erwan m’arrêta :
- Laisse, je vais la faire. Si tu fais les courses et les repas, alors je fais la vaisselle et Beau fera le ménage.
- Hé, je trouve ce partage des taches totalement inégal ! Pourquoi je m'esquinte à faire tout le ménage tout seul ?
- Je passe ma journée à sauver des âmes, alors que tu passes la tienne à dormir planqué dans une infirmerie vide !
- Faux, elle est remplie. Et u n'aurais plus beaucoup d'âme à sauver si je ne soignait pas leurs corps !
- Je confirme, ombreuses sont les filles qui souhaitent que beau soigne leurs corps.
Le regard du padre s'assombrissait.
- Quel exemple tu donnes à ta sœur !
- Heu ça va protestai-je
- Pour ta punition tu nettoieras ma chambre en plus ! rajouta-t-il.
- Quoi ! Mais c’est un prétexte pour me faire ranger ta chambre…
- En effet fit-il d'un calme olympien.
J’abandonnai ma série de questions sur le table et les laissai se disputer pour aller me reposer sur la méridienne dehors.
Divin témoin 21